Monde: Amnesty International fustige les dirigeants dans son dernier rapport annuel

Et le président américain y détient une place de choix. Les politiques dans le viseur d’Amnesty International : dans son rapport annuel, l’ONG condamne la rhétorique de la peur utilisée par les dirigeants du monde, tout au long de l’année 2017.


Parmi les personnalités pointées du doigt, le président américain : selon Amnesty, Donald Trump aurait violé les droits de l’homme, aux États-Unis comme à l’étranger :
"Nous avons principalement constaté dans ce rapport, qui couvre l’ensemble du monde, la propagation, la montée de la peur et les discriminations contre les minorités, contre les militants des différentes communautés. C'est une tendance que nous avons observée à l’échelle mondiale", commente Lynn Maalouf, membre d'Amnesty.
"Le président Trump a commencé l'année en disant qu'il approuve la torture et lorsque vous tenez des propos comme ceux-ci, cela donne une sorte de permission à tous les autres gouvernements."
L’organisation a également dénoncé les nombreux crimes de guerre perpétrés au Moyen-Orient, sans épargner les Occidentaux pour leur attitude envers les réfugiés.

Enregistrer un commentaire

Plus récente Plus ancienne