Changement climatique : l’UNESCO s’engage à disséminer les connaissances scientifiques (directeur pays)
L’UNESCO est "fortement engagé" aux côtés des Etats membres dans la mise en œuvre et la dissémination des connaissances scientifiques et managériales de pointe, pour "réduire l’impact du changement climatique", a affirmé lundi Dimitri Sanga, directeur du bureau de cette organisation à Dakar.
"L’UNESCO est fortement engagé aux côtés des gouvernements des Etats membres à opérer ce changement en œuvrant à développer et à disséminer les connaissances scientifiques et managériales de pointe pour réduire l’impact du climat", a-t-il réaffirmé.
M. Sanga s’exprimait, lundi, à Dakar, à l’occasion la première réunion du comité d’orientation de l’Initiative arabo-africaine des réserves de biosphère (AABRI).
"L’Initiative arabo-africaine des réserves de biosphère utilise les réserves de biosphère comme observatoire du changement climatiques et laboratoire de développement durable, un espace d’expérimentation de solutions innovantes de développement durable", a-t-il expliqué.
"C’est l’une des actions post COP 22 les plus importantes, car l’initiative a pour but premier de soutenir les Etats membres à mettre en place un dispositif opérationnel à l’échelle arabo-africaine d’observation des effets du changement climatique, et cela, en concertation avec le Programme sur l’homme et la biosphère (MAB)", a-t-il indiqué.
Il a indiqué qu’elle soutient également les réserves de biosphère dans les efforts visant à "constituer des espaces privilégiés pour tester de nouvelles approches de développement durable et observer les phénomènes de changement climatique".
L’initiative "AABRI’’ se veut aussi un levier de changement de paradigme vis-à-vis du climat et ouvre des "perspectives énormes’’ de partenariat et de créativité entre l’Afrique subsaharienne et la région arabe, indique-t-on.
"L’UNESCO est fortement engagé aux côtés des gouvernements des Etats membres à opérer ce changement en œuvrant à développer et à disséminer les connaissances scientifiques et managériales de pointe pour réduire l’impact du climat", a-t-il réaffirmé.
M. Sanga s’exprimait, lundi, à Dakar, à l’occasion la première réunion du comité d’orientation de l’Initiative arabo-africaine des réserves de biosphère (AABRI).
"L’Initiative arabo-africaine des réserves de biosphère utilise les réserves de biosphère comme observatoire du changement climatiques et laboratoire de développement durable, un espace d’expérimentation de solutions innovantes de développement durable", a-t-il expliqué.
"C’est l’une des actions post COP 22 les plus importantes, car l’initiative a pour but premier de soutenir les Etats membres à mettre en place un dispositif opérationnel à l’échelle arabo-africaine d’observation des effets du changement climatique, et cela, en concertation avec le Programme sur l’homme et la biosphère (MAB)", a-t-il indiqué.
Il a indiqué qu’elle soutient également les réserves de biosphère dans les efforts visant à "constituer des espaces privilégiés pour tester de nouvelles approches de développement durable et observer les phénomènes de changement climatique".
L’initiative "AABRI’’ se veut aussi un levier de changement de paradigme vis-à-vis du climat et ouvre des "perspectives énormes’’ de partenariat et de créativité entre l’Afrique subsaharienne et la région arabe, indique-t-on.
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