Tottenham - Liverpool : les notes du match
Tottenham - Liverpool : les notes du match
Trois semaines après avoir arraché leurs billets pour la finale de la Ligue des Champions, Tottenham et Liverpool se retrouvaient à Madrid. Un duel 100% anglais entre deux formations qui ont fait preuve de caractère tout au long de la compétition. Finalement les Reds se sont imposés 2-0 contre les Spurs et remportent un sixième trophée.
Après trois années de règne sans partage en Ligue des Champions, le Real Madrid sait désormais qui lui a succédé. Auteurs de parcours extraordinaires, Tottenham et Liverpool se sont livrés une lutte âpre pour le titre de champion d’Europe. Outsiders avant la rencontre, les Spurs restaient néanmoins sur deux succès retentissants contre Manchester City et l’Ajax Amsterdam. De leur côté, les Reds avaient remonté un retard de trois buts face au FC Barcelone (0-3/4-0) pour atteindre la finale. Un stade de la compétition loin d’être inconnu pour les hommes de Jürgen Klopp. Ces derniers s’étaient inclinés à ce stade l’an dernier contre le Real Madrid. Quoi de mieux que Madrid justement pour accueillir ce match. Dans l’Estadio Wanda Metropolitano, les deux équipes avaient rendez-vous avec l’histoire. Mauricio Pochettino optait pour un 4-2-3-1 classique avec Harry Kane en pointe. L’attaquant anglais était préféré à Lucas Moura. De son côté Jürgen Klopp faisait également dans le classique avec un trio offensif composé de Mohamed Salah, Roberto Firmino et Sadio Mané.
Il ne fallait pas arriver en retard lors de cette finale puisqu’après seulement 26 secondes de jeu, Sadio Mané voyait son centre contré dans la surface par le bras de Moussa Sissoko. Mohamed Salah se saisissait du ballon et crucifiait Hugo Lloris d’une lourde frappe plein axe (1-0, 2e). Cueilli à vif, Tottenham ne faisait pas preuve de sérénité dans ces premières minutes de jeu, mais faisait tourner le ballon pour essayer de réagir. Liverpool essayait de jouer dans le dos de la défense londonienne, mais Jan Vertonghen devançait Sadio Mané sur la gauche de la surface et concédait un corner (10e). Peu après, Dele Alli se faisait subtiliser le ballon par Jordan Henderson qui trouvait Trent Alexander-Arnold sur la droite à 25 mètres du but. La frappe de ce dernier passait juste à gauche des buts d’Hugo Lloris (17e). Servi dans la profondeur par Christian Eriksen, Heung-Min Son pensait partir seul au but, mais Trent Alexander-Arnold surgissait devant lui (20e). Sur la droite de la surface, Mohamed Salah tentait de se retourner et de frapper, mais il envoyait le ballon nettement au-dessus des cages d’Hugo Lloris (23e).
Tottenham a tenté, mais cela n’a pas suffi
Si Tottenham dominait légèrement les débats, les Spurs n’arrivaient pas vraiment à entrer dans la surface adverse. Dele Alli voyait notamment Joël Matip contrer sa timide frappe sur la droite de la surface (34e). Joël Matip orientait le jeu sur la gauche et Andrew Robertson frappait après une longue chevauchée. Hugo Lloris concédait le corner d’une claquette (38e). Suite au coup de pied de coin, Mohamed Salah voyait son tir à l’entrée de la surface passer au-dessus de la barre transversale (39e). Tottenham se procurait une dernière occasion franche suite à une remise de Dele Alli à l’entrée de la surface. La frappe de Christian Eriksen passait nettement au-dessus des buts d’Alisson Becker (45e +1). Lors de la mi-temps, les deux coachs ne faisaient pas de changements et repartaient avec les mêmes hommes. Astucieux, Kieran Trippier délivrait un ballon dans le dos de la défense sur coup franc pour Heung-min Son, mais ce dernier était signalé hors-jeu (51e). Liverpool répondait du tac au tac. Pas attaqué plein axe, Fabinho s’essayait à la frappe à 25 mètres du but. Sa tentative contrée par Harry Winks était captée en deux temps par Hugo Lloris (52e). Andrew Robertson enroulait ensuite un centre qui était capté par le gardien français (54e).
Tottenham tentait quelques ballons dans le dos de la défense et Dele Alli frappait sur la droite de la surface. Sa tentative était contrée par Trent Alexander-Arnold (55e). Les Spurs insistaient et Danny Rose plaçait un ballon sur la tête de Jan Vertonghen suite à un corner côté gauche vers le second poteau. La tentative du Belge passait au-dessus du cadre (58e). Si le spectacle n’était pas au rendez-vous, Christian Eriksen s’essayait à la frappe de loin … sans succès (61e). Dos au mur, Mauricio Pocchetino faisait un choix audacieux en sortant Harry Winks au profit de Lucas Moura (66e). Jürgen Klopp avait sorti Roberto Firmino (59e) et Georginio Wijnaldum (62e) pour faire rentrer respectivement Divock Origi et James Milner. Suite à un festival de Sadio Mané , Mohamed Salah remisait pour James Milner à l’entrée de la surface. La frappe du milieu anglais passait à droite des cages d’Hugo Lloris (69e). Le gardien français manquait ensuite de se faire peur face au pressing de Mohamed Salah (72e).
Tottenham pensait pouvoir égaliser dans la foulée, mais la frappe enroulée de Dele Alli était captée par Alisson Becker (73e). Son Heung-min faisait ensuite parler sa vitesse et partait seul au but, mais Virgil van Dijk revenait à temps pour lui subtiliser le ballon (75e). Tottenham poussait pour égaliser et Kieran Trippier centrait vers le but. Son centre trouvait Dele Alli, mais sa tête passait au-dessus des cages d’Alisson (79e). Heung-min Son puis Lucas Moura mettaient à contribution le portier brésilien (80e). James Milner faisait ensuite faute sur la gauche à l’entrée de sa surface sur Danny Rose. Le coup franc de Christian Eriksen était bien enroulé vers la droite du but, mais Alisson Becker s’interposait avec brio (85e). Sur le corner qui suivait, Lucas Moura et Heung-min Son manquaient de justesse le cadre. Liverpool souffrait, mais tenait. Divock Origi en profitait alors pour punir Tottenham d’une frappe croisée (87e). Les Spurs lâchaient leurs dernières forces, mais cela ne suffisait pas. Avec un succès 2-0, Liverpool décroche la sixième Ligue des Champions de son histoire et se retrouve sur le toit de l’Europe.
L’homme du match : Alisson (8,5) : le Brésilien n’avait pas à s’employer en première période. Le manque de précision des joueurs de Tottenham lui permettait de vivre 45 minutes relativement calmes. Il a ensuite vu une tête de Vertonghen passer au-dessus de ses buts (58e). Sorti de ses buts, il captait un centre de Trippier avec autorité (71e). Il captait ensuite une frappe enroulée d’Alli (73e) et des frappes de Son et Lucas (80e). Il se montrait déterminant de nouveau face à une frappe de Christian Eriksen (85e). Dans le temps additionnel, il montrait de nouveau les muscles face à Son puis Kane (90e +3). Un match de patron pour l’ancien joueur de l’AS Roma.
Tottenham :
Lloris (5,5) : le gardien de but de l’équipe de France aurait pu rêver mieux pour son entame de match. Alors qu’il venait à peine d’enfiler ses gants, l’ancien Lyonnais a dû faire face à Mohamed Salah sur penalty et n’a pas pu s’interposer face au boulet de canon de l’Egyptien (2e). Son arrêt sur la lourde frappe de Robertson (37e) permet à Tottenham de rester dans le match, tout comme son intervention sur le bon centre de Robertson (53e). Il ne peut rien faire sur la frappe de Divock Origi (87e).
Trippier (4.5) : il a eu quelques difficultés sur son placement, étant régulièrement pris dans son dos au début de la rencontre par de longs ballons venus de la défense des Reds. Loin de se refroidir, il a tout de même répété et enchaîné les efforts offensifs, contrairement à son homologue à gauche. Il défend bien face à un Sadio Mané très remuant (9e), mais s’incline tout de même.
Alderweireld (5.5) : il a livré un match sérieux, sans être impressionnant, contrairement à son compère dans l’axe, Jan Vertonghen. Souvent bien placé, le Belge n’a laissé que très peu d’espace aux attaquants des Reds. Face aux forces offensives de Jürgen Klopp, ce n’est pourtant pas chose facile.
Vertonghen (6.5) : peut-être, voire probablement, l’un des meilleurs Spurs sur le terrain. Le Belge s’en est relativement bien sorti face à un Mohamed Salah pourtant très disponible (8e, 21e, 52e). Régulièrement présent au bon endroit au bon moment, il s’est régulièrement imposé dans les airs et a stabilisé l’axe central en étant très juste. Son match, même s’il est malheureux sur le second but, aurait mérité meilleure récompense.
Rose (4.5) : son intervention sur le centre parfait de Robertson (22e) est précieuse. Concentré sur sa tâche défensive, il a été beaucoup moins offensif que son homologue à droite, le joueur de 28 ans a longtemps été timide, avant d’être contraint de prendre plus de risques. Sa frappe en fin de match (92e) illustre son impuissance face au bloc rouge. Il nous a quand même gratifié de quelques gestes techniques sympathiques, mais inutiles.
Winks (4) : auteur d’une relance hasardeuse (22e), le jeune milieu de terrain a eu du mal à marquer ce match de son empreinte. Sans réussir à casser les lignes, anéantissant même certaines occasions chaudes pour les hommes de Mauricio Pochettino, le joueur formé à Tottenham n’a pas marqué la rencontre de son empreinte. Remplacé par Lucas Moura (65e). Héros de la demi-finale, le Brésilien a tenté, sans jamais trouver la faille.
Sissoko (5) : le milieu de terrain français risque de ressasser longtemps l’action venue bouleverser son match dès la 26e seconde. Auteur d’un geste malheureux, il semble en effet donner une indication à un coéquipier, le joueur de 29 ans est finalement sanctionné d’un penalty qui semble sévère au ralenti (2e). Il relève la tête ensuite, imposant sa supériorité physique, notamment face à Henderson (18e). Sa sortie de balle (51e) est bonne, le reste de sa deuxième mi-temps est compliquée pour un joueur lessivé et touché avant d’être remplacé par Eric Dier (73e).
Alli (5) : le natif de Milton Keynes a été imprécis, alternant mauvais choix et passes dans le mauvais tempo. Il gâche une occasion en or (44e) et se trompe de décision un peu plus tard, mais son deuxième acte est de meilleure facture en témoignent ses tentatives, trop timides pour inquiéter le portier des Reds. Il sort, remplacé par Fernando Llorente (81e), ultime changement des Spurs.
Eriksen (5) : des mauvais choix, un déchet technique inhabituel, des difficultés sur le plan défensif… Sadio Mané lui a fait tourner la tête sur une action qui symbolise bien le match du Danois, dont le seul éclair de génie intervient à la 20e minute lorsqu’il lance superbement Son en profitant du rare moment de faiblesse de la charnière centrale adverse. Il inquiète tout de même Alisson sur un coup-franc dangereux en fin de match (85e).
Son (4) : auteur d’un doublé face à Manchester City lors du quart de finale retour, le Sud-Coréen nous a habitué à mieux. L’attaquant n’a cessé de se heurter à l’excellent Trent Alexander-Arnold (7e, 19e). Régulièrement décisif, l’homme fort de Tottenham depuis quelques semaines n’a pas été à la hauteur de son rendement. Son match aurait pu changer de dimension sans le retour de Virgil van Djik (74e) et les grosses parades d’Alisson (79e, 92e).
Kane (3) : touché depuis le 9 avril dernier et une blessure à la cheville gauche, l’Anglais aurait probablement mieux fait de rester sur le banc. Le seul ballon intéressant exploitable pour le buteur des Spurs arrive dans ses pieds à la 20e minute, mais débouche sur une action avortée par Son. Le reste ? Onze ballons touchés en première mi-temps, une deuxième période du même acabit… Fantomatique.
Son (4) : auteur d’un doublé face à Manchester City lors du quart de finale retour, le Sud-Coréen nous a habitué à mieux. L’attaquant n’a cessé de se heurter à l’excellent Trent Alexander-Arnold (7e, 19e). Régulièrement décisif, l’homme fort de Tottenham depuis quelques semaines n’a pas été à la hauteur de son rendement. Son match aurait pu changer de dimension sans le retour de Virgil van Djik (74e) et les grosses parades d’Alisson (79e, 92e).
Kane (3) : touché depuis le 9 avril dernier et une blessure à la cheville gauche, l’Anglais aurait probablement mieux fait de rester sur le banc. Le seul ballon intéressant exploitable pour le buteur des Spurs arrive dans ses pieds à la 20e minute, mais débouche sur une action avortée par Son. Le reste ? Onze ballons touchés en première mi-temps, une deuxième période du même acabit… Fantomatique.
Liverpool :
Alisson (8,5) : voir ci-dessus
Alexander-Arnold (7) : bien en place défensivement, il se mettait en avant rapidement en bloquant une contre-attaque de Son (7e). Servi sur la droite, il passait tout proche de doubler la mise d’une lourde frappe (17e). Il se montrait de nouveau impérial sur le plan défensif en devançant Son qui partait seul au but (20e). Incroyable de personnalité, il contrait une frappe d’Alli dans la surface (55e). Il a ensuite souffert, mais a fait preuve de caractère jusqu’au bout.
Matip (8) : le Camerounais a encore une fois confirmé sa belle saison. Même s’il n’a pas été toujours juste. Solide sur ses appuis, le Camerounais contrait une frappe d’Alli sur la droite de la surface (34e). Il lançait ensuite Andrew Robertson d’une magnifique ouverture (38e). A l’aise, il bloquait une frappe lointaine d’Eriksen (61e). Bien placé, il reprenait un ballon qui fuyait dans la surface et décalait Origi sur la gauche de la surface pour le 2-0 (87e). Une prestation de haute volée ce soir.
van Dijk (8) : à l’aise avec ses pieds, il distillait une magnifique ouverture pour Mané, mais Vertonghen devançait ce dernier (10e). Pas toujours juste dans son positionnement en début de match, le Néerlandais a été mieux par la suite. Très juste dans ses interventions, il n’a pas eu à forcer son talent en première période. Impressionnant dans les airs et dans son placement en seconde période, il revenait au dernier moment pour ravir un ballon dans les pieds de Son (75e). Il mettait ensuite la pression sur Vertonghen et enclenchait le but d’Origi (87e).
Robertson (6) : emprunté en début de rencontre, le latéral écossais se montrait décevant avec des erreurs de placement et des mauvais choix dans les transmissions. Des erreurs inhabituelles pour lui cette saison. Mieux par la suite, il mettait à contribution Lloris d’une lourde frappe sous la barre (38e). Vigilant, il chipait avec autorité un ballon dans les pieds de Winks sur la droite de la surface (52e). Il enroulait ensuite un bon centre vers le but, mais Lloris anticipait (54e). Il a ensuite eu plus de mal face aux débordements de Trippier.
Fabinho (6) : placé plus bas que ses collègues de l’axe, l’ancien Monégasque a eu du mal à se placer entre le milieu et la défense. Pas toujours précis dans l’orientation du jeu, le Brésilien a néanmoins répondu présent dans le défi physique. Lancé dans l’axe, il décochait une frappe à 25 mètres des cages qui terminait dans les gants de Lloris (52e). Il a ensuite fait preuve d’autorité dans les duels.
Henderson (6,5) : dans l’anticipation, il s’en allait glaner un ballon dans les pieds d’Alli et mettait Alexander-Arnold en position de frappe (17e). Discipliné, le capitaine des Reds n’a pas hésité à apporter le surnombre côté droit lors des phases offensives. Moins en vue offensivement en seconde période, il a formé un double pivot solide avec Fabinho et a été au charbon quand il le fallait.
Wijnaldum (5) : intéressant dans ses déplacements, le Néerlandais a été précieux sur le plan défensif en première période. Néanmoins, il n’a pas été toujours juste dans ses choix et ne s’est pas assez montré dans les phases de constructions. Il a ensuite définitivement plongé et James Milner (62e) a logiquement pris sa place. Rapidement servi plein axe, il manquait de peu le 2-0 d’une frappe sur la droite du but (69e). Sans incidence.
Salah (6) : il ne pouvait pas espérer meilleure entame dans cette finale. Après un penalty obtenu par Mané, l’attaquant égyptien ne se manquait pas et ouvrait le score d’une frappe plein axe (2e). Sur la droite de la surface, il tentait sa chance peu après, mais sa frappe se dérobait (23e). Assez discret, il se procurait une nouvelle occasion en première période (39e). Toujours intéressant dans ses efforts, il a néanmoins manqué de constance offensivement malgré quelques fulgurances côté droit.
Mané (6,5) : trouvé dans le dos de la défense, l’ailier obtenait immédiatement un penalty envoyait son centre contré par le bras de Sissoko (1re). Remuant, le Sénégalais n’hésitait pas à multiplier les appels dans le dos de la défense même s’il a eu du déchet lors du premier acte. Auteur d’une belle chevauchée, il était à l’origine d’une belle frappe de James Milner (69e).
Firmino (4,5) : sevré de ballon en début de partie, le Brésilien a néanmoins été intéressant dans son pressing et n’a pas été avare en efforts. Trouvé à l’entrée de la surface, il hésitait trop alors qu’il était en position de frappe (41e). Toujours aussi peu consistant en seconde période, il a laissé sa place à Divock Origi (59e). Le Belge n’a pas hésité à multiplier les courses pour apporter de la verticalité. Volontaire, il permettait à son équipe de vivre plus sereinement la fin de match avec un but (87e).
Alisson (8,5) : voir ci-dessus
Alexander-Arnold (7) : bien en place défensivement, il se mettait en avant rapidement en bloquant une contre-attaque de Son (7e). Servi sur la droite, il passait tout proche de doubler la mise d’une lourde frappe (17e). Il se montrait de nouveau impérial sur le plan défensif en devançant Son qui partait seul au but (20e). Incroyable de personnalité, il contrait une frappe d’Alli dans la surface (55e). Il a ensuite souffert, mais a fait preuve de caractère jusqu’au bout.
Matip (8) : le Camerounais a encore une fois confirmé sa belle saison. Même s’il n’a pas été toujours juste. Solide sur ses appuis, le Camerounais contrait une frappe d’Alli sur la droite de la surface (34e). Il lançait ensuite Andrew Robertson d’une magnifique ouverture (38e). A l’aise, il bloquait une frappe lointaine d’Eriksen (61e). Bien placé, il reprenait un ballon qui fuyait dans la surface et décalait Origi sur la gauche de la surface pour le 2-0 (87e). Une prestation de haute volée ce soir.
Firmino (4,5) : sevré de ballon en début de partie, le Brésilien a néanmoins été intéressant dans son pressing et n’a pas été avare en efforts. Trouvé à l’entrée de la surface, il hésitait trop alors qu’il était en position de frappe (41e). Toujours aussi peu consistant en seconde période, il a laissé sa place à Divock Origi (59e). Le Belge n’a pas hésité à multiplier les courses pour apporter de la verticalité. Volontaire, il permettait à son équipe de vivre plus sereinement la fin de match avec un but (87e).
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