Après la Présidence gambienne, c’est au tour du ministre guinéen de l’Éducation, Mory Sangaré, d’être pointé du doigt pour un communiqué bourré de fautes.
Pire l’on pourrait dire que le ministre guinéen de l’Éducation a remporté la palme en la matière.
Le ministre chargé de l’enseignement des dignes fils guinéens n’a même pas été capable d’écrire correctement son nom.