Revue de presse du 29 octobre 2021 : La Candidature de Abdoulaye Diouf Sarr à la Mairie de Dakar à la Une

La désignation de candidature de Abdoulaye Diouf Sarr candidat de la mouvance présidentielle à la mairie de Dakar lors des élections locales prévues en janvier est un des sujets en exergue dans les quotidiens reçus vendredi à l’Agence de presse sénégalaise (APS). , CANDIDATURE DE ABDOULAYE, DIOUF SARR ,MAIRIE ,DAKAR ,SENEGAL,PRESSE,REVUE,ABDOULAYE DIOUF SARR,

Candidature de Abdoulaye Diouf Sarr à la Mairie de Dakar à la Une 

Lii quotidien annonce que Abdoulaye Diouf Sarr, maire de la commune de Yoff et ministre de la Santé et de l’Action sociale, a été confirmé par Macky Sall candidat de la coalition Bennoo Bokk Yaakar pour la Ville de Dakar. ‘’Candidat de Bennoo Bokk Yaakaar pour Dakar, Abdoulaye Diouf Sarr, la bataille capitale’’, dit pour sa part Libération qui rapporte également ‘’ce que le président Macky Sall a convenu’’ avec Amadou Ba, un des prétendants au poste.

Revue de presse du 29 octobre 2021

Selon Le Quotidien, ‘’Diouf Sarr Ba Amadou’’. ’’Les rumeurs persistantes lui donnaient ces 48 heures vainqueur de son duel avec Amadou Ba qui, lui aussi, espérait défendre les couleurs de la majorité présidentielle pour ces Locales. Seul le chef de l’Etat a le secret de ses arguments. Mais Macky Sall a choisi le maire de Yoff qui, depuis plusieurs mois, a multiplié les sorties, rencontré des leaders d’opinion et misé sur la communauté léboue qui a réclamé cette fois-ci un des leurs pour diriger la capitale’’, écrit la publication.. Selon le journal ; ’’des dignitaires lébous, y compris le Grand Serigne de Dakar et responsable de Bby, Abdoulaye Makhtar Diop, déterminés à imposer leur candidat pour « récupérer » Dakar. Il est l’homme qui avait sauvé son parti de la razzia de Taxawu Dakar en 2014, ce qui a légitimé ses ambitions pour la Ville’’.

Communauté Léboue et les mille et un segments de la vie à Dakar

Parmi les ‘’trois facteurs clés’’ qui ont motivé le choix de Macky Sall, explique le journal Source A, il y a ’’la communauté Léboue et les mille et un segments de la vie à Dakar’’ qui se sont ‘’mobilisés comme un seul homme autour de la candidature de Abdoulaye Diouf Sarr’’. Avec ces choix, Macky Sall ‘’créée un séisme politique’’, selon le journal L’Info qui voit la désignation de Abdoulaye Diouf Sarr comme ‘’une revanche sur Amadou Ba’’.

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‘’Le duo Amadou Ba-Abdoulaye Diouf Sarr se dégage comme devant mener la bataille de Dakar’’, dit Enquête qui affiche à la Une : ‘’Investitures de BBY à Dakar, les chantiers du président’’. Dans le journal, l’analyste politique Ibrahima Bakhoum souligne que ‘’celui qui remporte Dakar se présentera de facto comme un potentiel successeur de Macky Sall en 2024’’.

Alliés se révoltent contre le diktat apériste

L’As évoque le dépôt de cautions tous azimuts au sein de la majorité et affiche à la Une : ‘’Implosion de Bennoo’’. ‘’Les alliés se révoltent contre le diktat apériste. A Dagana, Oumar Sarr et cie ont déposé les cautions nécessaires pour les scrutins communaux et départementaux. Le leader du PPC, Seydou Diouf, va présenter sa propre coalition et briguer la ville de Rufisque’’, écrit le journal. A propos des investitures à BBY toujours, Walfadjri note que ‘’les alliés ont été réduits à leur +plus simple expression’’. ‘‘Le président Macky Sall, dans le cadre des élections locales de janvier 2022, est en train d’imposer ses choix en misant particulièrement sur les hommes de son parti, l’Alliance pour la République (APS), pour diriger les mairies, au détriment de ses alliés de Benno Bokk Yaakaar’’, lit-on dans la publication.

Responsables de son parti visent à gérer leurs patelins

Le journal Kritik prévient que Macky Sall ‘’brandit le sabre contre les listes parallèles et le vote sanction’’. ‘’Même s’il dit accepter que les ambitions s’expriment et que les responsables de son parti visent à gérer leurs patelins, le président de la Coalition Benoo Bokk Yaakaar a été on ne peut plus clair avec ses lieutenants. Tout acte fractionniste après ses choix définitifs sera considéré comme une rébellion politique mais aussi un défi à son autorité personnelle’’, indique la publication. Le Soleil s’intéresse au Vih-Sida et souligne que le taux de prévalence poursuit sa baisse. ‘’Il est passé de 0,5 à 0,3% selon une enquête de l’Onusida. Le pays ne compte plus que 39 400 malades’’, rapporte le journal.

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